En quoi le mouvement hippie a-t-il libéré la société des années 60-70 ?

En quoi le mouvement hippie a-t-il libéré la société des années 60-70 ?

jeudi 3 février 2011

Sommaire



      -Introduction




   I)Libération des moeurs et du corps:
                   1)L'éducation
                   2)Les drogues
                   3)Le mode vie: Le retour a la nature


  II)Les hippies et la société
                  1)La fin de la guerre du Vietnam
                  2)Les grands évènements
                  3)Le regard des médias envers les hippies

                      -Conclusion

                      -Webographie



Le mouvement hippie a-t-il libéré la société des années 60?

samedi 29 janvier 2011

Introduction



C’est en 1960, qu’un nouveau mouvement apparait en Amérique du Nord, surnommé ‘Hippies’. Ces personnes se distinguaient des autres américains par leurs tenues, chevelures, et leur liberté dans leurs relations amoureuses. Ce mouvement a marqué l’Amérique, au point de se diffuser dans le monde entier. Mais les hippies n’étaient pas les seuls, il y avait aussi les beatniks et yippies. Ces deux catégories de jeunes avaient quelques point en commun, comme la ressemblance de leurs aspect (chevelures/ habits...) et leur rebellions envers la société. Mais avaient aussi des différences qui marquèrent leurs différentes appellations.
 Les Beatniks était les premier «  hippie », apparut au début des années 50 en Amérique du Nord, ce mouvements continua jusqu’en Europe. Les hippies ont beaucoup pris d’idées aux beatniks, mais ceux-ci étaient plus  intellectuels, individualistes et aventuriers que les hippies. Puis les Yippies, les jeunes  qui apparurent a la fin des années 60 après les hippies.
 Ce mouvement était beaucoup plus restreint que les deux autres. Il s’arrêtait à l’Amérique du nord, ils étaient seulement un peu plus  engagé politiquement par rapport aux Beatniks. Les médias en ont alors fait une mode que les jeunes suivirent rapidement. Ce parti, de plus en plus populaire, commença à rassembler, à San Francisco, de plus en plus de jeunes en provenance du monde entier, venues s’y installer.
Leur mode de vie ressemblait à une grande association : des jeunes de l’après-guerre, contre-culture, vivant ensemble 24h/24, en communauté. Cela était bien vu par les jeunes, mais très mal par leurs parents et par la société qui les rejetaient.


La photo est devenue très célèbre par la brutalité de son message et le contraste entre les deux attitudes adoptées. Ce geste signifie qu'avec l'amour de son prochain, on peut parvenir à tout sans arme ni violence, ce que prône principalement le courant hippie.
 
Les jeunes Hippies, se présentaient avec des fleurs devant les soldats américains qui partaient faire la guerre du Vietnam. On appelait cela «Flower Power»
 Leur citation favorite, qui resta célèbre même après la mort du mouvement en Amérique. «Make Love, Not War» Puis le mouvement a évolué ! De grandes manifestations se mettaient en place soit des ‘sit-in’, mais toujours des organisations pacifiques .Leur mouvement a eu également une énorme influence sur le domaine musical. Les hippies n’acceptaient plus cette société de consommation.  Les jeunes ne respectaient plus aucunes normes. Que ce soit des ordres parentales, ou alors qu’elles viennent du travail. 
Et il y eue, ‘le retour à la nature, comme un besoin d’émancipation. Un flux migratoires vers l’Inde. Le pays de la sagesse (Gandhi, 1869-1948), qui leurs inspiraient leur philosophies ‘Peace and Love’. Mais leur objectif principale de cette façon de vivre était leur ‘bien être’.
C’est ainsi, que sont apparus les différents moyens de contraception. Et puis, les différentes drogues, avaient aussi trouvées leurs places dans ce retour à la nature, qui les aidaient à réaliser leurs aspirations à vivre librement tous ensemble. Mais tout mouvement a des contraintes : Dès que leurs sources d’énergie et de bien-être commencèrent à être connues, la société les critiquaient plus qu’ils les admiraient, la vie en communauté devenait impossible, le FBI recherchait les hippies à cause de leur possession de drogues, ou parce que des personnes (voisins ou autres) les dénonçaient pour outrage aux mœurs par exemple. Et cela a commencé à faire couler le mouvement, surtout quand certains leaders du mouvement sont morts par overdose.






Le mouvement hippie a-t-il libéré la société des années 60?      




Ce TPE va se dérouler en deux grandes parties. Premièrement, La libération des mœurs et du corps. Avec l’éducation, les drogues et le mode de vie. Et en grand deux, La société et les hippies. Avec la fin de la guerre du Vietnam. Les grands évènements et le regard des médias envers les hippies.

I) Libération des moeurs

1) Éducation.


C’est pendant ce mouvement que les progrès scientifique se développèrent le plus. Les femmes ont enfin obtenu le droit d’avortement avec la progressive législation de la pilule contraceptive et la création des multiples moyens de contraceptions : Comme la propagation de la capote. Ce qui a donné naissance à leur ‘Liberté Sexuelles’. Sans contraintes, enfin, avec moins de risques, de tomber enceinte, ou d’attraper une maladie sexuellement transmissible.
Cette liberté leur permettait de prouver leur fierté, en exposant leur corps nus à tout le monde. Mais aussi à accentuer sur le point de vue de la contre-culture. Ce qui s’opposait donc à certains courants religieux, comme pour le Christianisme. Qui elle combattaient justement contre l’obscénité, et l’immoralité de ces jeunes. C’était tout sauf une honte!
 Mais quand les femmes tombaient enceinte, soit elles restaient dans le mouvement et élevaient leurs enfants sur leurs éducations. Soit elles le quittaient, pour retrouver une vie américaine banale, utilisant la société de consommation et voir même se remettre dans la religion. Pour certaines femmes, la liberté sexuelle étaient naturelle, mais pas au point d’élever leurs enfant dedans. Ce que les hippies rejetaient le plus, c'étaient 'le mariage'. Une union entre deux personnes, pour la vie les effrayaient. Et de plus, en refusant cet évènement, les hippies étaient encore contre la société. Contre tous les autres américains.

Oz magazine «psychédélique hippie» fut plusieurs fois en procès pour obscénité en Australie et en Angleterre

Cette liberté sexuelle a quand même réussit à délivrer le statut des femmes : Elles étaient arrivées au même niveau que les hommes, n’étaient pas que destinées à faire du ménage, et à s’occuper des enfants, comme avant. Elles se droguaient, et exposaient leurs corps comme les hommes. Ils étaient dans le même milieu avaient le même style vestimentaire et surtout, exprimaient leur fierté et leur contre-culture de la même façon en exposant leurs ‘intimités’ à leurs nombreux voisins




2) Les drogues.


Les différents types de drogues :
Voici la plupart des drogues sous la majorité des formes possibles. Il se peut qu’à l’époque il n’y en ai pas autant mais les principales existaient déjà par exemple en haut a droite il s’agit d’une feuille de cannabis et en bas à droite le « zig zag » est du papier à tabac.
Les hippies prônaient l’utilisation de drogues car celles-ci permettaient de «planer» c’est-à-dire d’atteindre une sorte de paradis artificiel afin d’y méditer et oublier les aspects négatifs de la vie en abolissant les frontières du mental mais aussi et surtout pour s’amuser, faire la fête! Aldous huxley, auteur du livre Les portes de la perception encourage la prise de drogues pour atteindre la perception d’un nouveau monde «préliminaire à un sentiment de plénitude et de communion avec le cosmos».
Les hippies consommaient deux types de drogues:
                 Les drogues dites douces, comme le haschich ou la marijuana
                 Les drogues dites dure, comme le L.S.D. et autres acides hallucinogènes.

Ceci est probablement du cannabis sous forme de cigarette: un joint. 
Le L.S.D. était très prisé car il fait partie du type de drogues appelé les psychotropes: Ceux-ci auraient des «vertues» psychédélique par exemple des troubles de la visions, des hallucinations etc. Les hippies prenaient du L.S.D. sous forme de petits cachets à avaler et ils faisaient effet pendant plus ou moins 10heures. Lorsque la prise de drogue se passait mal cela s’appelle un ‘bad trip’ et qu’il panique ou fasse une crise d’angoisse.
Comme certaines autres drogues le L.S.D. fut mis a la disposition des scientifiques car il était apparu comme prometteur contre certaines maladie, mais ses effets néfastes apparaissant peu à peu il fut déclaré illégal aux USA en octobre 1966.
•  Le cannabis (ou marijuana) contient du THC (tetrahydrocannabinol) est à la fois un psychostimulant et un psychodépresseur suivant l’état d’esprit de la personnalité de celui qui en consomme. Il altère la perception du temps et de l’espace, et provoque aussi des hallucinations cependant moins forte que le L.S.D. Le cannabis peut se fumer sous forme d’herbe ou de résine voire d’huile mélangée à de la nourriture.


3) Mode de vie.


Les hippies  se plaisaient à vivre en communauté, souvent à la campagne ou loin des villes pour éviter la pollution et le capitalisme ils remettaient en cause l’idée d’une autorité, surtout l’autorité parentale, une sorte d’utopie communautaire qui débuta dans les années 60. Le but était de prouver que l’on pouvait vivre autrement de manière indépendante mais solidaire avec des personnes du même mouvement qu’eux, tout en refusant la société de consommation, pour eux l’argent n’était pas nécessaire ! Il arrivait qu’ils « squattent » des lieux, donc qu’ils habitent illégalement dans un endroit et vivaient avec le minimum vital. Cette idée de vie en communauté était mal vu par certains qui n'y voyaient qu'un monde d'obscénité et de dégradation des mœurs.
Le retour à la nature était l'idée d'un plus grand respect de la planète incluant produits bios, l'utilisation d'énergies renouvelables et le recyclage. Ils mettaient en avant les valeurs écologistes et égalitaires issues des philosophies orientales et primitives, cherchaient l'harmonie, la communion avec la nature, en vivant simplement voire pauvrement pour oublier le profit et le matérialisme.
Cette recherche de la Nature absolue et cette vision pure et douce de la Terre, peut se rapprocher de la vision des auteurs humanistes.
Pourtant  communautés ne duraient rarement que plus de quelques années, car cela porte bien son nom : utopie communautaire ; C’était quelque chose d’irréalisable sur le long terme.  Malgré tout ils n’avaient pas la prétention de vouloir contrôler la société, mais ils pensaient plutôt « do you own thing and never mind what everyone else thinks » (autrement dit «  faites ce que vous voulez faire et ne vous préoccupez pas de ce que les autres en pensent »), ils rejetaient aussi  l’ « American Way of life ». Quand ils ne pouvaient pas partir vers la campagne ou la montagne, guidés par des personnalités comme Bouddha, ils s’occupaient de jardins ou d’animaux, comme les moutons. Certains poussaient cette idéologie à l'extrême et allaient vivre en Grèce, en Inde, au Maroc, ou encore à Amsterdam, appréciée pour sa convivialité et sa lutte anti-pollution.
Leur volonté d’écologie, comme on le dirait aujourd’hui, est appuyée par des manifestations pacifiques, par exemple celle contre la pollution à San Francisco en 1968.

• Vestimentaire : Leur façon de s’habiller est devenue leur moyen d’expression, une façon d’affirmer sa personnalité.  Ils achetaient leurs vêtements dans des friperies, portaient surtout des blue-jeans peint, brodés de fleurs, cousu de strass ou coquillages, toujours avec les pattes d’éléphant. Le jeans reste le seul vêtement qui a survécu aux aléas de la mode avec le temps. Les filles s’habillaient en jupe voire mini-jupe colorées mais aussi en jeans. La différence entre les sexes était de plus en plus mince si on ajoute le fait que les hommes avaient aussi des bandeaux dans leurs longs cheveux, et qu’ils portaient des bijoux et se parfumaient (notamment au patchouli)  sans distinctions. Ce style androgyne et ces couleurs vives choquaient beaucoup car les uniformes de l’époque étaient sobres et sombres. Ils marchaient pieds-nus ou en sandale, mais dès qu’ils le pouvaient, ils étaient aussi entièrement nus.


Ci-dessus, sont plusieurs exemples de vêtements hippies, leur façon de s’habiller originale et colorée se voyait de loin.

• Alimentation : La plupart des hippies avaient une alimentation biologique, sans pesticides et la plus naturelle possible il arrivait qu’ils mangent des fruits et légumes qu’ils faisaient pousser. Certains prônaient le végétarisme, car cela avait une connotation de pureté, c’est-à-dire qu’il ne mangeait rien qui ait une origine animale. Pour ceux qui vivaient a la campagne, ils souvent une ferme avec leurs champs et potagers !




II) Les Hippies et la société

1) Guerre du Vietnam.

 
Un des objectifs des hippies était la lutte contre la guerre.
Ils militaient dans le but de faire cesser la guerre au plus vite, de lutter contre l'impérialisme afin que le Vietnam soit un jour réunifié dans un unique Etat communiste, cherchaient à convaincre les hommes politiques et les militaires américains à renoncer à leur engagement au Vietnam.
Plusieurs hippies appelés à aller à se battre au Vietnam se font réformer, d'anciens combattants prônent la paix, après toutes les horreurs vécues à la guerre. Leur mouvement était pacifiste, inspiré de la lutte pacifiste contre le racisme de Martin Luther King, et surtout de Gandhi, pour sa philosophie utopique et non-violente. Ils avaient donc choisi ce moyen de revendication où ce n'était pas la violence et la force qui faisaient avancer les choses mais le nombre.

Ils organisaient des sit-in devant la maison blanche par exemple, ou encore couvraient les armes des soldats avec des fleurs.
Ils utilisaient différents moyens de protester : ils écrivaient des textes engagés contre la guerre, des chansons, (dont les célèbres Blowin' in the wind de Bob Dylan et Give peace a chance de John Lennon entre autres).

Ils écrivaient également des textes philosophiques, envoyaient des lettres au congrès, faisaient signer des pétitions, ou encore refusaient de payer leurs impôts. Mais plus la présence américaine se renforcait au Viet-Nam plus les protestations étaient violentes.Les actes de désobéissance civile se multipliaient  et les forces de l'ordre répondaient en utilisant des gaz lacrymogènes ou en arrêtant des gens en masse.



2) Les grands évènements


Durant l'année 1967, de nombreux rassemblements appelés "love in" ont été organisé au Golden Gate Park, à San Francisco. Tout le monde pouvait y assister, pas seulement les hippies, la couleur de peau, la classe sociale ou bien encore l’âge n'avaient pas d'importance. Les gens y allaient pour être ensemble, lire des poèmes et écouter de la bonne musique. Lors de ces rassemblements, des concerts gratuits étaient organisées, grâce auxquels des légendes du rock sont née. Le "human be in" organisé en janvier 1967 a été le rassemblement le plus populaire de cette année, c'est celui qui a marqué le début du summer of love (été de l'amour) Des groupes tel que Grateful dead, Jefferon aireplane, Country joe et the Fish y ont joué. Scott Mackenzie composa pour l'occasion la célèbre chanson "San Francisco". Le soir la foule se rassembla sur la plage, et la police profita de l'absence des habitants des quartiers hippies pour arrêter des centaines de personnes. Ce fut le début d'une période de traque aux dealers de drogues dures. Des étudiants de collège et de lycée, sont venus pour les vacances de printemps à Haight-Ashboury (Californie) curieux de l'ampleur de ce mouvement. Le nom de Summer Of Love s'officialise. Les Beatles y ont joué un grand rôle, grâce à leur musique qui insiste sur l'amour de paix et d'unité comme dans la chanson « All you need is love » ou «Lucy in the Sky »  ,l'influence psychédélique des instruments de musique indiens, leurs pochettes d'album aux couleurs vives rappellent les couleurs du "summer of love".



Le summer of Love tout en couleur.





Durant l'été 1967 plus de 100 000 jeunes du monde entier sont venus se regrouper dans la région de San Francisco, pour vivre l'expérience Hippie.
Le festival international de musique pop de Montrey rassemble plus de 200000 personnes. Mimi Cendrier et The Who y jouèrent pour la première fois. Le Summer of Love attirait des adolescents, étudiants, militaires, touristes etc. venus pour faire la fête. Il y avait de la nourriture gratuite, divers drogues, hôpitaux gratuits magasins et autres. Mais cet événement eu d'importantes conséquences tel que le surpeuplement de la ville de San Fransisco, détérioration des locaux, hausses de criminalité, problèmes de logement et de nourriture. A la fin du Summer of love les "flowers childrens", littéralement « enfants des fleurs » retournèrent chez avec  des idées nouvelles, un nouveau mode de vie.  Le 6 octobre 1967 ceux qui sont resté ont joué " la cérémonie de la mort du hippie" ce fut le symbole de la fin du summer of love.


En 1969, eu lieu le festival de Woodstock, qui dura quatre jours du 15 au 18 aout à White Head Lake. Les jeunes y venaient pour écouter de la musique, ce qui est un élément capital pour un hippie, mais aussi pour partager leurs avis sur des sujets graves. Un climat d'amour et de paix y régnait, pas de violence ni d'accidents. (Un film a été réalisé à partir d'images prise lors du festival). Au même moment le festival de l'ile de Wight au sud de l’Angleterre est organisé. Il rassemble moins de personnes, mais reste connu comme le festival de bob Dylan, qui est considéré comme le pape du rock ( article publier" 150000 personnes sont au rendez-vous pour écouter le "Pape du rock") Les hippies écoutent principalement du rock et du blues, des paroles sentimentales et simpliste(Beatles) Une musique libre qui voulait se démarquer de tous les autres styles. Ils ont alors des morceaux plus longs, une place importante pour l'improvisation et les thèmes principaux sont la politique, le militarisme et l'utopie. Cette musique influe sur les groupes de la génération suivante telle que the byrds. 

3) Le regard des médias sur les hippies.

Les médias (télévision, radio, presse) parlaient des hippies comme d'un "phénomène de société». Les médias qui devaient rester neutre, chargé d'informé la population des faits réels sans prendre parti, jugeaient les hippies parfois durement mais parfois aussi pas du tout.  Dans les dossiers d'actualité mondiale, les hippies étaient classés comme " Problèmes politiques et sociaux" ce qui est un aspect négatif. Ces textes ne contiennent presque pas de critiques négative mais essayent d'analyser ce mouvement contestataire marginal.

« Quand vous ne voyez plus de hippies stoppeurs, alors vous avez perdu votre route. »Enormément de presse commentant les différents festivals de musique.



"Eté 1969. l'influence des jeune étrangers à Ibiza atteint des records absolu depuis 2,3 ans déjà les hippies ont envahi le cartier du port, les ruelles de la vielle ville, les plages et la campagne environnantes, barbus, cheveux long, vêtus de tenu multicolore d'inspiration indienne, ils s'étalent au terrasses de cafés dans l'attente du bateau qui les conduira sur l'ile voisine de Fomentera. Ils jouent de a flute, lézardent au soleil, se baignent puis, le soir venu s'assemblent au claire de lune pour camper, faire de la musique, "voyager" à l'herbe ou l'acide ces visiteurs d'un genre nouveau qui sourit au passent, déconcertent et fascinent tout ce qui les approche. Sur la route du Maroc et de l'orient avant le "plongeon" ou vacance- évasion, la découverte d'Ibiza c'est la préfiguration d'une autre vie possible." de Rosenberg ne juge pas les hippies mais les décrit. Au début le gens les considéraient comme des révolutionnaires révoltés contre le système alors qu'en réalité ils sont pacifiques.
Les hippies n'étaient pas aimé par les gens riches (bourgeois), étroit d'esprit et religieux ou encore par les politicien de droite car leurs comportement étaient opposé au leurs. Les hippies représentaient pour eux des jeunes voyous sales et drogués. Certain critiquaient les hippies car ils vivaient en communauté et ils considéraient qu'ils étaient mal  nourrit, pervertis et mal soigné (livre de la contre-culture de John Rothschild et Susan Wolf)
Les Hippies n'étaient pas seulement critiqué ils étaient aussi admiré par certains mais n'y participaient pas car ils étaient trop vieux, ou car il ne voulait pas décevoir leurs parents. De célèbres écrivains tels que Théodore Roszak affirmait que l’état psychédélique à partir du LSD était bénéfique en tant "qu'exploration de la politique de la conscience".